Publié le 28 Novembre 2008


Bonjour à tous

 

Je vous parlais déjà de lui en mai dernier :
http://tontondaniel.over-blog.com/article-19799891.html


Loin du record de Jeanne Calment qui a vécu jusqu'à 122 ans, Claude Lévi-Strauss fête aujourd'hui ses 100 ans. Ou plutôt "ne fête pas" comme il l'expliquait dans un document d'archive diffusé ce matin par France Inter !

 

Savez-vous combien il y a de centenaires en France en cette fin d'année 2008 ? 20 000 ! 100 fois plus qu'en 1950 !
Prédispositions génétiques, progrès sanitaire, vaccinations, allègement du temps de travail, meilleur équilibre alimentaire, normes de sécurité, beaucoup de facteurs sociaux et individuels expliquent que l'on vive en France plus vieux... et en meilleure santé !

 

Mais qui va payer toutes ces retraites ?

 

Tonton Daniel

 

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Rédigé par tonton daniel

Publié dans #portraits

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Publié le 27 Novembre 2008


Bonjour à tous

 

On connait le Danemark pour sa Petite Sirène, ses maisons colorées, ses parcs d'éoliennes et les contes d'Andersen. Des images idylliques comme en donnent souvent les pays scandinaves, mais qui cachent la plupart du temps une violence incroyable héritée du passé et bridée par notre société moderne.
Du Danemark, on connait moins, voire pas du tout, la région autonome des îles Féroé située entre l'Ecosse et l'Islande, et les traditions "sanglantes" de ses habitants : beaucoup de mails circulent en ce moment à propos du massacre organisé de milliers de dauphins dans les iles Féroé. Voici deux visions contradictoires du même évènement :

 

"Au nom de la tradition, le Danemark pays civilisé et faisant partie de l'Union européenne tolère que les îles Feroe perpétue chaque année le massacre de milliers de dauphins :
Pour marquer leur passage dans l'âge adulte, les jeunes gens doivent participer à cette barbarie et ramener leur trophée. Aidés de leurs aînés, ils rabattent les dauphins vers la côte puis en les bloquant par des cordages, ils les éventrent avec des gaffes métalliques et des crochets. Tout se passe dans une violence et une cruauté sans nom... comme l'explique cet article intitulé "Aux îles Féroé, la mer est rouge de sang" :
"Les cétacés sont dirigés vers une baie le long des côtes, poussés par des hors-bord, puis, alors épuisés et terrifiés, harponnés à plusieurs reprises par des gaffes de métal pesant plus de 2 kg, jusqu’à ce que le croc s’accroche dans la chair. Quinze centimètres de lame d’un couteau enfoncé dans la nuque atteignent ensuite les artères et les centres nerveux. Les femelles enceintes sont éventrées. L’agonie est plus ou moins longue. Quant aux gamins, ils « baignent là-dedans », au sens propre, puisqu’ils vont nager dans la mer de sang, à cheval sur le dos des globicéphales noirs (Globicephala malaena) hurlants et agonisants, et ont pour l’occasion droit à un congé scolaire afin de participer à cette « manifestation folklorique ».

 

Un autre site (http://feroe.ifrance.com/globicephale.htm) essaie d'expliquer ce massacre (sans l'excuser et dans un français moyen) comme un "fait culturel complexe" :

 

"Une mer qui vire au rouge sous les coups de couteau des pêcheurs qui rabattent vers la plage des troupeaux entiers de baleines noires. Inhumain et cruel ? Superflu pour l'homme et dangereux pour l'équilibre naturel de la population des océans ? A priori, ce massacre est indéfendable. Les Féringiens, qui pratiquent cette chasse rituelle, se sentent souvent incompris à ce sujet.
Il ne s'agit pas ici de diminuer l'horreur que constitue cette chasse. J'ai essayé ici de retranscrire les pensées des populations que j'ai rencontrées.
L'animal pourchassé s'appelle 'globicéphale noir' (globicephala mela). C'est un cétacé pesant 3 tonnes, entièrement noir. Les Féringiens l'appellent "grindahvalur", en français, on dit 'épaulard à tête ronde'.
Les méthodes sont humanisées. L'on rabat un troupeau de globicéphales passant à proximité de l'archipel. Les pêcheurs vont guider les animaux, qui ne se déplacent qu'en groupe, vers une plage "d'échouage" prévue par la réglementation (il en existe 21). L'abattement intervient par la section rapide des vaisseaux du cou du globicéphale. On ne tue plus les animaux à coups de lance ou en haute mer. La mise à mort intervient en quelques secondes.
Cette chasse constitue une tradition ininterrompue depuis la fin du XVIe siècle. Contrairement à la corrida, ici la mise à mort n'est pas un pur spectacle, c'est un sacrifice rituel dont se nourrit depuis toujours l'archipel.
Lorsque l'alarme est donnée, tout le village se précipite vers la plage d'échouage. Chaque habitant, même s'il n'a pas pris part à l'expédition, reçoit une part de viande et de lard. L'animal ne sert qu'à la consommation du Féringien. Pas d'exportation, ni de transformation de la graisse en rouge à lèvre ou cosmétiques.
C'est l'activité qui, rassemblant tous les Féringiens, leur fait retrouver un esprit communautaire que la vie moderne a un peu tué.
Aujourd'hui, le globicéphale, conservé séché ou congelé, entre pour une bonne part dans l'alimentation : le 1/4 de sa consommation annuelle de viande. Depuis 1986 des lois ont réglementé la chasse. Pour ce qui est de l'équilibre naturel, il n'est pas menacé.
Les Féringiens capturent en moyenne de 800 à 2000 globicéphales par an (pas de période précise de chasse). Le nombre de prises est inégal d'une année sur l'autre (1 millier en moyenne, mais 285 seulement en 1995). Il n'y a pas eu de "Grind" en 2002. On estime à plus de 100 000 le nombre de ces animaux dans cette région du monde, soit un "prélèvement" de 1 à 2 % sur la population totale. On compte plus de 900 000 globicéphales noirs dans le monde, et sa chasse fait l'objet d'une réglementation qui tient en compte la souffrance de l'animal.
On reste donc dans le cadre d'une pêche traditionnelle et artisanale, qui ne s'apparente pas au commerce mondial indéfendable des baleines, auquel se livrent la Norvège et le Japon.
L'amalgame risque d'être trop vite établi. Cette pêche est avant tout un fait culturel."

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Eles_F%C3%A9ro%C3%A9

 

http://commons.wikimedia.org/wiki/Whaling_in_the_Faroe_Islands

 

http://www.dinosoria.com/globicephale.htm

 

Si vous voulez "éviter" les produits danois avant Noël, voici une liste non exhaustive d'entreprises danoises parmi les plus connues : Bang & Olufsen, Carlsberg, Tuborg, LEGO, Stimorol (Mâchez danois !)...


Mon avis sur la Maison du Danemark à Paris :
http://tontondaniel.over-blog.com/article-4048692.html

 

Tonton Daniel

 

 

 

 

 

 

 

 

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Rédigé par tonton daniel

Publié dans #environnement

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Publié le 26 Novembre 2008


Bonjour à tous

 

Le film commence de manière jubilatoire quand le personnage principal fait voler en éclat le masque d'une vie trop rangée, règle ses comptes avec ses clients, sort ses quatre vérités à sa belle-mère et fait craquer le vernis policé et hypocrite d'une réunion entre amis.

 

On ne présente plus le réalisateur Jean Becker (L'été meurtrier, Les enfants du marais...), Albert Dupontel dans le premier rôle est toujours aussi convaincant, la distribution est riche et soignée... Et pourtant j'avoue ma légère déception puisque j'avais compris la fin du film et les motivations du héros depuis longtemps... Je vous donne un indice : le scénario de François d'Épenoux est avant tout une magnifique histoire d'amour...

 

Ce n'est pas la première fois que cela m'arrive, je pense par exemple au film de Bernard Rapp "Une affaire de goût" et son "coup de théâtre" final cousu de fil blanc, au terrifiant "Seven" de David Fincher ou à "6e sens" avec Bruce Willis.

 

J'ai peut-être raté une carrière de scénariste ?

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Twist_final

 

Tonton Daniel

 

 

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Rédigé par tonton daniel

Publié dans #cinéma

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Publié le 24 Novembre 2008


Bonjour à tous

 

En complément de l'article d'hier consacré à la météorite canadienne, voici le passionnant article de Stepan Krivocheïev paru dans Courrier International n° 940 du 7 novembre dernier consacré à la catastrophe sibérienne de 1908 :

 

"Retour sur le cataclysme sibérien de 1908 :

 

Cent ans après l’explosion d’un gigantesque corps céleste au-dessus de la taïga, le mystère demeure : quelle était la nature exacte de cet objet ? 

 

Un siècle s’est écoulé depuis le cataclysme de la Toungouska. Et on ne sait toujours pas avec certitude quel est le phénomène responsable de cette gigantesque explosion qui a soufflé la forêt sibérienne dans un rayon de plus 20 kilomètres. Si les premières expéditions, organisées aussitôt, savaient à peu près ce qu’elles cherchaient, l’objet de cette quête est devenu de plus en plus flou avec le temps, et plusieurs générations de chercheurs n’en sont pas venues à bout. Aujourd’hui, personne n’est en mesure de dire précisément ce qui s’est passé le 30 juin 1908. Comme aiment à le répéter ceux qui se sont penchés sur ce phénomène, “nous avons accumulé une montagne de faits, mais personne ne sait ce qu’ils signifient”.
Vitali Romeïko est l’un des spécialistes du sujet. Chercheur indépendant, il a participé à vingt-deux expéditions dans la région où est censé être tombé l’objet et a publié trois livres sur cet événement exceptionnel. En cette année de centenaire, il a bien voulu nous faire partager les informations rassemblées par tous ceux qui se passionnent pour cette histoire depuis un siècle, et nous présenter sa propre hypothèse.

 

Des traces sur les glaces de l’antarctique

 

Ce qui est certain, c’est qu’un corps céleste est entré dans l’atmosphère terrestre au matin du 30 juin 1908 et qu’une explosion a eu lieu au-dessus d’un point situé à 60° 53,7’ de latitude nord et 101° 53,5’ de longitude est. L’onde barique (l’onde de choc) a fait le tour de notre planète. Sur place, la forêt a été soufflée sur une surface de 2 150 km2, le rayonnement a carbonisé les arbres tout autour. Des phénomènes sismiques se sont produits et l’ionosphère a connu des perturbations magnétiques durant environ trois heures trente. Des anomalies optiques (“nuées argentées”) ont également été observées dans l’atmosphère. Mais il y a aussi eu une augmentation de la radioactivité, une croissance accélérée des arbres, des mutations chez les insectes, des traces chimiques dans les glaces de l’Antarctique et du Groenland…
Vitali Romeïko propose de s’arrêter sur plusieurs aspects importants et directement liés à la catastrophe. D’abord, rappelle-t-il, la surface accidentée de nombreuses planètes et de leurs satellites a depuis longtemps fait comprendre aux astronomes que tous les corps du système solaire étaient en permanence soumis à un bombardement cosmique, et notre planète comme les autres. Il n’est donc pas du tout absurde de considérer les événements de 1908 comme un phénomène classique de collision d’une comète ou d’un astéroïde avec la Terre. Mais le mystère demeure : s’agit-il d’une comète ou d’un astéroïde ?
Vitali Romeïko s’est plongé dans de vieux traités d’astronomie, et ce qu’il a découvert dans le Calendrier astronomique russe de 1910 l’a stupéfié : la comète de la Toungouska aurait été photographiée cent quatre-vingts jours avant qu’elle ne heurte la Terre. Un article très complet, intitulé “Les progrès de l’astronomie en 1908”, décrit les deux nouvelles comètes découvertes en 1908. En particulier la mystérieuse 1908a, découverte par Max Wolf, directeur de l’observatoire allemand de l’université de Heidelberg : “En photographiant le ciel à la recherche de la comète de Encke, dont le retour était attendu pour le début 1908, il a soudain aperçu, au milieu d’une multitude d’étoiles apparaissant sous forme de points minuscules, l’objet tant attendu dans son halo vaporeux. Comme la position de cette comète était quasiment celle prévue pour celle de Encke, Wolf l’a prise pour cette dernière.”
La comparaison des observations photographiques et de la trajectoire de la comète de Encke montra par la suite qu’il pouvait s’agir d’un autre objet, et les astronomes émirent plusieurs hypothèses : soit cette comète n’avait rien à voir avec celle de Encke, soit celle-ci avait éclaté, et les morceaux suivaient désormais des trajectoires différentes. Wolf aurait alors observé l’un des morceaux. A l’époque, l’insuffisance du nombre d’observations n’a malheureusement pas permis de trancher, mais il est fort probable qu’à la fin 1907, sous l’action d’un échauffement thermique ou de forces gravitationnelles, la comète de Encke se soit effectivement divisée et ait donné naissance à deux, voire trois objets indépendants, dont l’un serait entré en collision avec la Terre le 30 juin 1908.
Le plus étonnant est que, plus de soixante ans plus tard, deux astronomes – l’un soviétique et l’autre tchécoslovaque – identifièrent tous deux, sans ce concerter, la comète de Encke comme possible responsable de l’explosion au-dessus de la Toungouska. L’astronome tchécoslovaque Lubor Kresak calcula même, en 1978, que le fragment de la comète de Encke qui constituerait la fameuse “météorite de la Toungouska” aurait heurté la Terre à une vitesse approximative de 31km/s.

 

Vitali Romeïko affirme pour sa part qu’un ensemble de preuves indirectes incrimine un fragment de la comète de Encke. Outre celles déjà citées, on peut noter l’absence de gros éclats de matière cosmique sur le lieu de la catastrophe et la découverte dans la tourbe de la Toungouska d’une substance proche de la glace dont se composent les comètes.
Tentons donc, avec l’aide de Vitali Romeïko, de reconstituer à peu près le film des événements : un peu plus de six mois avant la collision, sous l’effet d’un échauffement thermique, la comète de Encke, petite mais assez connue, se scinde en plusieurs morceaux quasiment sous les yeux des astronomes. Ce genre de chose n’est pas rare. En juillet 1994, la comète Shoemaker-Levy a fait de même, et, au printemps 2006, de nombreux fragments de la comète Schwassmann-Wachmann ont frôlé la Terre. La comète de 1908 nous arrivait du côté du Soleil, ce qui ne permettait pas de l’observer durant la nuit, et donc de prévoir une collision avec notre planète. Le 30 juin, vers 7 heures du matin heure locale, un fragment d’environ 100 à 150 mètres de diamètre entre dans l’atmosphère à une vitesse de l’ordre de 30 km/s, dans une région située à l’extrémité nord du lac Baïkal, soit à 700 ou 760 kilomètres de l’épicentre de l’explosion. Le noyau de la comète a pu se présenter sous la forme d’un bloc de glace constitué essentiellement de composés volatils – formés à partir d’hydrogène, de carbone, d’azote, d’oxygène – et de poussière minérale. L’objet se serait dirigé vers le nord-ouest.
Le noyau de glace, doté d’une énorme réserve d’énergie, a pénétré profondément dans l’atmosphère terrestre avant d’éclater, à une altitude comprise entre 5 000 et 10 000 mètres. En progressant dans l’atmosphère, il s’est beaucoup fragmenté, se chargeant en électricité statique. Près du village de Vanavara, il a explosé, anéantissant une grande quantité d’arbres. Des jets de gaz chauffés à blanc et peut-être même des morceaux de glace ont heurté le sol à une vitesse fantastique, creusant des dépressions thermokarstiques, dont l’aspect rappelle les cratères de météorites. Une partie de la matière cosmique a brûlé, et une partie a sans doute ricoché plus loin vers le nord-ouest, à moins qu’elle ne soit ressortie de l’atmosphère.

 

Des nuées argentées planaient sur l’Europe

 

La puissante explosion d’altitude a donné naissance à une catégorie particulière d’ondes (que les spécialistes de physique de l’atmosphère appellent “acoustico-gravitationnelles”) qui se sont propagées à la limite de l’atmosphère, à environ 80 000 mètres d’altitude. Elles ont manifestement formé un champ compact de nuées argentées, qui a ensuite pu être observé depuis l’Europe centrale et la Russie occidentale.
Ce scénario s’appuie pour partie sur des intuitions non étayées. Mais il est le seul, pour Vitali Romeïko, à offrir un tableau cohérent des événements. La conclusion qui en ressort est qu’il n’y a jamais eu de météorite de la Toungouska. Ce qui s’est produit il y a tout juste un siècle au-dessus des confins de la taïga et qui a bouleversé le monde serait en fait l’œuvre d’une comète ou de ses morceaux, qui, d’une façon incroyable, auraient réussi à atteindre les abords de la Terre.
Des astronomes ont calculé que si le corps céleste avait pris un peu de retard, il aurait explosé en un tout autre point : quatre heures trente plus tard, l’énorme quantité d’énergie dégagée aurait rayé de la carte une partie de la Scandinavie et du nord-ouest de la Russie, dont Saint-Pétersbourg [la capitale d’alors]. Et le centenaire que nous célébrons aujourd’hui serait d’une teneur très différente." 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tunguska

 

Tonton Daniel

 

 

 

 

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Rédigé par tonton daniel

Publié dans #astronomie et espace, #russie-urss, #secrets et mystères

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Publié le 23 Novembre 2008


Bonjour à tous

 

Etoile filante, météore, météorite et bolide sont des objets célestes associés au même phénomène physique : l'entrée fugitive dans l'atmosphère terrestre d'un corps spatial à grande vitesse et sa désintégration spectaculaire dans la plupart des cas. A ne surtout pas confondre avec le passage d'une comète visible plusieurs semaines !
Alors que je viens de revoir en DVD le film "Le choc des mondes" daté de 1951, je suis tombé par hasard sur la dépêche suivante de l'agence Associated Press datée d'aujourd'hui :

 

"Une étoile filante géante au-dessus du Canada :

 

L'une des plus grosses étoiles filantes du Canada, pendant la dernière décennie, a illuminé dans la nuit de jeudi le centre de la province de Saskatchewan, à l'ouest du pays, a expliqué le chercheur en sciences planétaires Alan Hildebrand, de l'Université de Calgary, qui collabore à l'Agence spatiale canadienne.
La dislocation de la météorite dans le ciel a été aperçue à quelque 700km à la ronde, jusque dans le nord des Etats-Unis. Largement filmée, la boule de feu extrêmement rapide a suscité une avalanche de témoignages, a affirmé Alan Hildebrand. "Ce serait comme l'équivalent d'une ampoule d'un milliard de watts".
"Surprendre une météorite est quasiment comme effectuer une mission spatiale entre Mars et Jupiter", a déclaré Martin Beech, professeur d'astronomie à l'Université de Regina. Les météorites permettent, selon lui, une connaissance précieuse de l'histoire du système solaire.
"L'étoile filante" est le nom donné à la partie visible d'une voie de météorites. Il s'agit du phénomène lumineux qui accompagne l'entrée dans l'atmosphère de la terre d'un corps extraterrestre (météore). Un météore qui atteint le sol s'appelle une météorite, soit un cas sur mille, a ajouté Rick Huziak, astronome amateur à Saskatchewan.
Les météorites les plus brillantes sont appelées bolides. Les météores sont de petites particules de débris du système solaire. La plus grande chute de météorites a eu lieu en 1960 au nord-est d'Edmonton, près de la ville de Bruderheim. Plus de 700 fragments, soit 300kg au total, avaient été récupérés".

 

http://www.youtube.com/watch?v=9RGscgYb7tY

 

http://www.youtube.com/watch?v=HXzzakHTXnQ

 

http://www.youtube.com/watch?v=7I-LREViplo (impressionnant mais la deuxième partie du film est plus... commerciale !)

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9t%C3%A9orite

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bolide

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89toile_filante

 

http://www.youtube.com/watch?v=io-cpG4iPF8&feature=related (Le choc des mondes Scène finale)

 

Tonton Daniel

 

 

 

 

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Rédigé par tonton daniel

Publié dans #astronomie et espace

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